#kenpo kumite
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Only Eight Martial Arts Techniques!
Yep, there are only about eight martial arts techniques, everything else is fluff and stuff. Of course there are a thousand deviations, and they are valuable for your overall education, but, when you get to the down and dirty, there are only eight techniques. Now, this is not boxing. This not padded gloves to dissipate force, and eliminate grabs. This is somebody strikes or is going…
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KUMITE SECRETS – How To Win A Fight using Go no Sen, Sen no Sen & Sen
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31MAY24 We did an extra class today, since this will be my last regular class before Ohana, thanks to heading to the ship tomorrow. But I think we covered good ground- all review of hte same things, but I see improvement. Let us hope that it works, for the tournament is next week, and Ohana next month.
Training:
1730-1930: Martial arts
Kenpo short 3 & long 2, competition happo giri & sanju ichi jo kata, kumite, review of Kenpo Purple belt Aiming the Spear, Crash of the Eagles 2, & Knee Lift
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Les instructeurs de Taikiken France
Taikiken France Organisation vous présente ses instructeurs, accompagnés de leur curriculumet selon une chronologie d’ancienneté étant en rapport avec le relationnel qu’ils entretiennent avec le Soke de Taikiken France
1 – Christophe Bertrand – Secrétaire TKKF – Instructeur TKKF à Lille. En relation avec ASS depuis septembre 1993. Fondateur de l’association Karenza.
2 – Yannick Cayet – Président TKKF. En relation avec ASS depuis septembre 1993. Fondateur du Sei Ryū Nō Dōjō 青竜の道場
3 – Benoît Naous – Trésorier & DTN TKKF. En relation avec ASS depuis l’hiver 1994. Fondateur du Seibukan Nō Dōjō 誠武館の道場朝
4 – Pierre Robert – Instructeur TKKF à Lille & responsable de l’édition à TKKF. En relation avec ASS depuis l’hiver 2012. Fondateur du Shinkukan 心空館
5 – Olivier Moreau – Instructeur TKKF à Nice. En relation avec ASS depuis Mars 2013. Fondateur du Azur Asahi Nō Dōjō 紺碧朝日の道場
6 – Yann Criou – Instructeur TKKF à Orléans. En relation avec ASS depuis l’hiver 2007. Fondateur du Mori Nō Dōjō 森の道場
I – Christophe Bertrand
Né le 13 novembre 1971 à Châtellerault (86) .
Étant alors domicilié à Orléans, Christophe débuta la pratique de l’Art du Combat sous l’égide d’A.Stoll Sensei en 1992 au Seishinkan Dōjō (誠心館道場) de la Ferté Saint Aubin dans le Loiret (45).
A cette époque l’Art Martial qu’enseignait ASS[2] était le Karate Shaolin Mon (少林 門空手), l’école de Tokitsu Kenji Sensei (時津賢児).
Christophe à suivi toute l’évolution et la mutation progressive du Seishinkan Dōjō vers le Taikiken.
Entre le milieu de la décennie 90 et et celle de 2000, Christophe avait, suite à de moultes soucis organisationnels inhérents à l’école Shaolin Mon, enfin réussi à se présenter à l’examen de la FFKDA[3] qui lui permis à devenir Diplômé d’État premier degré.
Dans cette période Christophe enseignait dans la capitale en tant que professeur de Tai Ji Quan (太極拳) et de Chi Gong (氣功) et additionnellement de Taikiken (太氣拳).
A partir du milieu de la décennie 2000, Christophe s’installa dans la métropole Lilloise toujours en tant qu’enseignant de Tai Ji Quan, de Chi Gong et de Taikiken rattaché à ASS.
Dans la période de 2003 à 2011, alors qu’ASS vivait au Japon, Christophe organisait annuellement à Paris et ensuite à Lille un stage de Taikiken sous la direction d’ASS.
Actuellement, en raison d’un emploi du temps très chargé, Christophe à en partie cessé d’enseigner le Taikiken sur Lille -誠空館の道場- au sein de son association Karenza pour se rattacher au Seikukan Dōjō de Pierre Robert ou il poursuit sa pratique personnelle avec Pierre.
En 2018 et 2019, Christophe a eut l’occasion d’effectuer deux séjours d’une dizaine de jours en Chine, à Beijing (北京 – La ville du Nord) ou en conséquence, il étudia avec des Shifu[4] (師傅) de Tai Ji Quan et de Chi Gong.
Au sein de Taikiken France, Christophe détient le titre de Renshi (錬士). Il possède également le grade de Nidan[5] (二段) en Karate. Depuis sa création en Avril 2018, Christophe siège également en tant que secrétaire au bureau de Taikiken France.
Contact :www.taikiken-france.eu
Phone: 0033/(0)612.421.632
II – Yannick Cayet
Né le 3 juin 1970 à Marseille (13).
En 1993, Yannick intègre le Seishinkan Dōjō à la Ferté Saint Aubin (45) ou il vient de s’installer dans un cadre professionnel. Très rapidement un étroit relationnel s’instaure entre Yannick et ASS. Lors de l’assemblée générale de 1994,Yannick sera élu comme président du Seishinkan Dōjō et conseiller auprès d’ASS.
Lors de son entrée dans le SSKD[6], Yannick détient déjà quelques notions martiales, notamment en Judō (柔道) et en Pencak Silat (qui se prononce : peunetchak-silate).
Armé de ses quelques connaissances, Yannick, comme Christophe va suivre progressivement l’évolution et la mutation du Sei Shin Kan Dōjō vers le Taikiken et devenir très proche d’ASS.
De part ses obligations professionnelles qui l’oblige à changer constamment de région, Yannick n’arrivera pas à mettre en place une structure régulière d’enseignement.
Les quelques années ou il séjourna à Alès dans le Gard (30), il réussira à diriger un petit groupe d’adeptes dans une salle municipale qui lui servait de Dōjō.
Il séjournera ensuite quelques années dans le métropole Toulousaine (31). Depuis 2018 il vit maintenant sur Paris (75) ou il semble se stabiliser professionnellement et ou il a la ferme intention de monter une structure Taikiken.
Comme Christophe, Yannick à réussi après les multiples déboires occasionnés par la mauvaise organisation de l’école Shaolin Mon, à obtenir de la part de la FFKDA le titre d’Instructeur Fédéral avec le grade de Shōdan (一段)[7] en Karate.
A l’époque ASS était largement intervenu auprès du Président de la FFKDA pour que les problèmes liés à cette carence organisationnelle de l’école Shaolin Mon, ne bloquent pas la reconnaissance des diplôme et des Dan des différentes personnes qui avaient participé à cette évaluation et qu’enfin ces dernières puissent êtres régularisées.
Au mois de juin 2017, ASS organise pour Yannick et Benoît Naous un séjour/stages de deux semaines au sein du Taikiken Nippon à Tōkyō (東京), ainsi qu’à Oyama (小山) dans la Préfecture de Tochigi (栃木県).
Lors de son séjour au Japon Yannick, fut nommé par Iwama Norimasa Sensei (岩間統正先生), le plus ancien Deshi (弟子) de Sawai Kenichi Sensei (健一澤井先生) au titre de Renshi (錬士) et lui délivrera un Menkyō de Taikiken calligraphié de sa main.
Le nom du Dōjō de Yannick est le : Sei Ryū Nō Dōjō - 青竜の道場 -.
En Avril 2018 Yannick à été élu comme Président de Taikiken France.
Contact :www.taikiken-france.eu
Phone : 0033/(0) 651.186.312
III – Benoît Naous
Né le 16 septembre 1973 à Beyrouth (Liban).
En 1994, Benoît fait la connaissance d’ASS au Havre lors d’un stage de l’école Shaolin Mon dirigé par Tokitsu Kenji Sensei. Stage dans lequel ASS est assistant de Tokitsu Sensei.
En ces temps mémoriaux Benoît, alors Nidan (二段) de l’école Kyokushin est alors assistant d’un Sensei (Depuis décédé) qui dirigeait une section Kyokushin dans une association municipale du Havre.
Suite à ce stage, Benoît intéressé par l’approche encore rationnelle à l’époque de Tokitsu Sensei sur la manière de concevoir une pratique martiale, conserva le contact avec ASS.
Quelques temps plus tard, il invita ASS à venir diriger un stage de Shaolin Mon au Havre. ASS accepta l’invitation et se transporta avec Yannick au Havre pour un week-end.
A la suite de ce stage qui à l’époque, captiva les adeptes Kyokushin du Dōjō de Benoît, ce dernier conserva le contact avec ASS. Il vint quelques fois à la Ferté Saint Aubin les week-end pour partager le Keiko avec les membres du Seishinkan Dōjō.
ASS introduit Benoît auprès de Tokitsu Sensei. En août 2004 Benoît reçu le grade de Yondan (四段) Shaolin Mon Tokitsu Ryū, 4èmeDan.
Benoît acquis également le Diplôme d’Instructeur Fédéral FFKDA et demeura dans l’école Shaolin Mon jusqu’en août 2004, ou il revint s’installer avec sa famille à Beyrouth.
Au Liban, Benoît ouvrit une section Shaolin Mon, ou il y réunis quelques élèves.
Mais aux vues d’une activité professionnelle très chargée, qui l’obligeait à devoir s’absenter quinze jours par mois en Arabie Saoudite, son groupe ne prit pas de consistance.
Dans cette même période, ASS s’expatria à Yokohama. Benoît et ASS restèrent malgré tout en proche relation.
A partir de 2004, Benoît, lorsque cela lui était possible, participait aux stages à Paris. Stages organisé par Christophe Bertrand et placés sous la direction d’ASS, venant à cet effet spécialement du Japon.
Suite à son admission au sein du Taikiken Nippon dans le Dōjō de Shimada Sensei, ASS avait alors, déjà largement introduit dans sa pratique et son enseignement, une grande partie du contenu issues de la structure énergito-technique du Taikiken, avec bien évidement, le Jissen Kumite (実戦組手), combat au contact sans protections, qui était systématiquement à l’ordre du jour.
Benoît suivit toute cette transformation et s’appliqua à pratiquer tous les jours son Shugyō[8] (修行). En avril 2006, ASS se sépare de l’école Shaolin Mon-Jiseidō de Tokitsu Sensei pour créer sa propre école, la Seishinkan Kenpo International (SSKKI). Benoît suivi cette mutation en se séparant également de Tokitsu Ryū.
En 2011, ASS revint s’installer en France dans le département de l’Ariège (09).
A partir de cette date, Benoît suivi également cette mutation progressive de SSKKI vers le Taikiken qui en 2011 devint le Dōjō officiel du Taikiken pour le Sud Ouest de la France. En 2017 au Japon, Benoît , comme Yannick, devient Renshi et reçoit de la part d’Iwama Sensei son Menkyō de Renshi calligraphié.
En 2018, SSKKI fut dissoute et immédiatement remplacée par Taikiken France Organization (Organisation). Une nouvelle Organisation dans la quelle Benoît accepta la fonction de trésorier. Benoît fonda également en 2018 son propre Dōjō, le Seibukan Nō Dōjō (誠武館の道場) au Havre.
Suite au terrible accident dont fut victime ASS, ce dernier n’étant plus en capacité physique d’assurer la direction technique de TKKF, il plaça Benoît au poste de Directeur Technique National (DTN) pour Taikiken France, sous son contrôle.
Dernièrement, en juin 2019, Benoît fut désigné par ASS au niveau de la FIAMT[9], comme seul référent pour Taikiken France Organization.
A ce jour, Benoît cumule la fonction de DTN TKKF et de Référent FIAMT pour Taikiken France.
Pour tous renseignements : www.taikiken-france.eu
Phone du Seibukan Dōjō du Havre:0033/(0)646.052.195
IV – Pierre Robert
Né le 11 juillet 1981 à Valenciennes (59).
Pierre Robert est à l’origine un adepte et un combattant de l’école Shidōkan (士道館) de Lille.
Pierre croisa le chemin d’ASS courant 2012 à Lille lors d’un stage de Taikiken organisé par Christophe Bertrand. Les Keiko lui révélèrent la structure énergito-technique du Taikiken, il fut immédiatement séduit par la pureté et la rationalité du Taikiken.
Le samedi soir du stage, lors du diner au restaurant, Pierre posa la question à ASS si il avait la possibilité de venir passé plusieurs jours dans son Dōjō de Lavelanet pour une pratique intensive.
Depuis son retour du Japon ASS proposait une formule de 6 jours de pratique consécutive du Taikiken dans son Dōjō en Ariège : du lundi au samedi matin, à raison de 6 heures minimum de pratique journalière.
Rendez vous fut pris pour le mois juillet 2012, pendant la période des vacances.
Le temps de la formation intensive fut arrêtée pour la troisième semaine de juillet. La veille de la session, c’est à dire le dimanche en fin d’après midi ASS reçu Pierre qui était accompagné de Jean.
Un garçon également gradé de l’école Shidōkan, qui avait participé au stage de Lille et qui avait également manifesté le désir de suivre cette formation accélérée au Taikiken.
Après les avoir réceptionnés dans son Dōjō en leur offrant le thé, ASS les installa dans un hôtel situé pratiquement vis-à-vis du Dōjō. Pendant qu’ils buvaient le thé, ASS leur communiqua une documentation assez conséquente sur l’historique et toute la structure technique du Taikiken, ainsi que le programme d’étude de la semaine.
Les Keiko étant prévu tous les jours de 09:30 h à 12:00 h et de 14:30 h à 17:00 h en privé avec ASS, sur quoi ce greffait aussi les Keiko réguliers avec les Deshi SSKKI, autant en Tai Ji Quan qu’en Taikiken. Sans oublier les séquences de Jissen Kumite avec ASS et ses Deshi. Ce qui leur faisait des journées de pratique constituées de 7 à 8 heures de Keiko.
Plus tard, Pierre et Jean reconnurent que cela avait été une semaine très éprouvante à tous les niveaux. Autant sur celui des Keiko ou ils durent emmagasiner et pratiquer un maximum d’informations technico-énergétique, ainsi qu’intellectuellement, en raison d’une documentation conséquente. Mais aussi lors des session de Jissen Kumite très percutantes.
Le dernier jour, le samedi matin ASS avait organisé le Keiko plus comme un séminaire qu’un Keiko classique de pratique. Ainsi la matinée fut plus détendue. Il leur fallu revoir physiquement et mentalement en revue tout le travail effectué tout le long de la semaine. Mais aussi pouvoir poser des questions autant sur la technique que sur l’historique, la dialectique etc. aux quelle se plia ASS avec débonnaireté.
La semaine fut certes éprouvante mais très bénéfique, non seulement à cause de l’intensité des Keiko, mais aussi en raison des longues soirées passées après le diner. Les repas du soirs furent pendant toute la semaine préparés et servis par ASS lui même dans le Dōjō, transformé pour l’occasion en salle à manger.
Des soirées passées aussi avec quelques Senpai du Dōjō et ponctuées de projections vidéos d’ASS au sein du Taikiken Nippon.
Pas une soirée de la semaine ne se termina avant 1 heure de la nuit.
Le samedi, le cœur remplit de bon souvenirs, avec un corps courbaturé et douloureux Pierre et Jean reprirent la route pour 1000 kilomètres en direction de Lille, après un dernier déjeuner au restaurant chinois situé à côté du Dōjō.
Suite à cette formation accélérée les liens entre Pierre, Jean et ASS se raffermirent, si bien que petit à petit ils commencèrent, surtout Pierre à s’intégrer à la structure organisationnelle du Taikiken.
Ainsi en fin de chaque année ou le stage d’hiver à Lille, qui se tenait généralement soit au milieu du mois de novembre ou au début de décembre Pierre et Jean, aidèrent Christophe dans l’organisation.
Chaque année, pour cette occasion, ASS venait à Lille accompagné de quelques élèves de son Dōjō.
Le dernier stage de Lille dirigé par ASS se tient en décembre 2015 dans le Dōjō personnel de Pierre. Un Dōjō d’une surface d’environ 70 m² que Pierre construit de ses propres mains au rez-de-chaussée de sa maison.
En cet été 2018, Pierre qui était de passage dans la région du Sud Ouest rendit visite à ASS dans son nouveau lieu de vie médicalisé à la Bastide sur l’Hers[10]située à 10 minutes de son ancien Dōjō de Lavelanet.
Lors de cette visite, agrémentée d’une longue conversation, Pierre émis le vœu de s’intégrer d’une manière plus prononcée dans l’organigramme de Taikiken France et ce en proposant son Dōjō[11]comme nouveau Dōjō Taikiken sur Lille et la région des Hauts de France. Mais aussi en s’impliquant plus encore dans la pratique afin de devenir un des nouveaux instructeurs de Taikiken France. Se qu’accepta ASS sous certaines conditions.
Pendant la saison 2017/2018 Pierre assista Benoît lors du dernier stage de l’année du mois de décembre à Lavelanet.
A la clôture de ce stage, la mairie organisa un vin d’honneur, présidé par Monsieur Marc Sanchez, Maire de Lavelanet en l’honneur de Taikiken France dont le siège se situe sur sa circonscription ainsi que pour ses dirigeants et professeurs.
Le prochain stage que Pierre dirigea collégialement avec Christophe et Benoît, fut le stage de clôture de la saison 2019-2020, qui se tient aussi à la Bastide sur l’Hers du 26 au 28 juillet 2019.
Depuis la nouvelle saison 2019-2020, Pierre à pris à sa charge la mise en page et l’édition des actuels et futurs ouvrages qu’édite et éditera Taikiken France. Mais aussi la mise à jour du Web Site créé courant 2019.
Pierre à donc rejoint le staff des instructeurs de Taikiken France qui prennent le relais dans l’enseignement et la transmission du Taikiken en France, remplaçant ainsi physiquement ASS. Ce dernier conservant un contrôle technico-organisationnel du Taikiken pour la France et éventuellement l’Europe dans l’avenir.
Il est prévu lors de l’été prochain, à la fin de la saison 2020-2021, que Pierre, accompagné d’autres membres, des Senpai de Taikiken France s’envolent pour deux semaines au Japon.
En effet depuis 2016, du fait qu’ASS ne peut plus s’envoler chaque année se ressourcer au Japon comme il le faisait depuis 2011.
Il à pris l’initiative en accord avec les Dōjō de Shimamura Sensei, d’Iwama Sensei et d’Ito Sensei, d’envoyer à sa place pendant l’été, un ou plusieurs de ses Deshi, venir passer deux semaines de formation en stage et autres séminaires.
Contact : www.taikiken-france.eu
Phone: 0033/(0)664.488.898
VI – Olivier Moreau
Nle 26 août 1970 à Colmar (68).
Olivier qui originellement à fait ses classes dans la sphère, du Kyokushinkai Karate et de la Boxe Thaï est entré en relation avec ASS, lors d’un stage à Lavelanet en 2013. A cette époque Olivier était domicilié à Toulouse ou professionnellement il exerçait dans les placements financiers du secteur des assurances.
C’est un client qui connaissait ASS qui lui conseilla de venir pratiquer le Taikiken à Lavelanet au sein du SSKKI. C’est donc lors du stage de printemps 2013 qu’Olivier fit la connaissance d’ASS et du Taikiken.
A partir de cette date Olivier se présentait tous les samedis après midi au Honbu Dōjō SSKKI de Lavelanet afin d’y suivre les Keiko. Ne pouvant pas, à cause de sa profession, participer aux Keiko hebdomadaires qui étaient en soirée.
Olivier capta assez rapidement les principes de pratique du Taikiken en affectionnant tout particulièrement le Jissen Kumite ( 実戦組手). Entre 2013 et 2016 le relationnel entre ASS et Olivier pris de la consistance.
Dès que cela lui était possible, il participa à tous les stages SSKKI sur l’Ariège et suivit ASS dans les Gasshuku[12] (合宿) à Amsterdam, Alicante, Florence etc.
Il réussi avec succès toutes les sessions d’évaluations interne à SSKKI et ensuite pour Taikiken France.
En juin 2016 il passa avec succès les évaluations pour Shidōshi (士道師) et en Juin 2018 pour celle de Shidō In (士道員), Go Mokuroku[13] ( 初目録 ).
Armé de ce nouveau titre, Olivier du courant 2018, déménagé professionnellement sur la métropole Niçoise.
Sous la recommandation d’ASS, Olivier fonda l’Azur Asahi Nō Dōjō (紺碧朝日の道場) avec l’appui organisationnel d’un autre Deshi d’ASS qui vit également à Nice et qui avait rejoint le Honbu Dōjō TKKF (本部道場) en Avril 2016, il s’agit de Monsieur Olivier Cartoux.
Cette nouvelle structure Taikiken sur l’agglomération Niçoise doit prendre son envol lors de la prochaine saison 2020-2021.
En juin 2020, il est prévu qu’Olivier soit du voyage au Japon avec Pierre.
Contact : www.taikiken-france.eu
Phone: 0033/(0) 688.680.100
VII – Yann Criou
Né le 03 août 1978 à Orléans (45).
Yann fit la connaissance d’ASS lors de l’hiver 2007, à l’occasion d’un stage à Orléans, alors qu’ASS vivait encore au Japon et qu’il venait une à deux fois l’an en France pour y diriger des stages. Depuis cette date, Yann est resté en contact avec ASS et ce tout particulièrement depuis que ce dernier est revenu en France pour s’installer dans l’Ariège.
Depuis 2011, Yann à pratiquement suivit tous les stages organisés par SSKKI et ensuite par Taikiken France, à l’exception de ceux ou Yann devait endurer quelques problèmes de santé[14] et ou il fut absent.
C’est un concours de circonstance qui positionna Yann à la tête d’un petit groupe d’anciens Deshi d’ASS sur le secteur orléanais.
En ce début d’année 2016, alors qu’ASS, à la demande du groupe, était venu avec des Deshi du Honbu Dōjō diriger un stage de week-end à Orléans. ASS proposa à Yann, de prendre en charge techniquement la direction du groupe, ce bien évidement avec l’accord des plus anciens que lui dans le groupe. Notamment Mr. Pascal Léonard et Mme Oria Mihoubi. Yann accepta donc de s’engager un peu plus avec le groupe et ce dans le but le diriger techniquement, tout en poursuivant sa formation.
Yann n’étant pas encore techniquement opérationnel à 100 %, il possède cependant un très bon sens de la pédagogie. Le groupe accepta sans aucune obstruction à ce que Yann prenne ce poste « d’instructeur ».
Ainsi, pendant toute la période qui se situa entre le mois de juillet 2016 et celui de Mai 2018.
Une période ou un vide abyssal s’installa dans tout SSKKI, suite à l’accident d’ASS, Yann, bon an mal an, poursuivit avec détermination et avec une évidente bonne volonté à diriger le groupe orléanais du mieux qu’il le pouvait.
Via les nombreuses conversations téléphoniques que Yann entretien avec ASS depuis le stage qui se tient en décembre 2018 à Lavelanet, ASS étant toujours attentif au respect des règles du Budō, proposa à ce que Yann puisse passer une évaluation technique dés que possible.
Depuis Janvier 2018, Yann fait l’effort de monter une fois par mois au Havre pour pratiquer sous la direction de Benoît. Le stage d’été 2019 du mois de juillet à Lavelanet/La Bastide sur l’Hers (09) fut arrêté afin d’organiser cette évaluation.
Le temps du stage arriva. Au deuxième jour, juste après le Keiko du samedi après-midi le jury composé des Sensei : Alain Stoll, Adolphe Schneider (Pour la Fiamt), Benoît Naous, Christophe Bertrand et Pierre Robert, se mit en place afin d’évaluer Yann pour le titre de Shidōshi Nidan (2ème Dan).
L’évaluation étant prévue sur trois épreuves :
1 - Les fondamentaux techniques.
2 - Le Jissen Kumite (5 Kumite de 1,30,,).
3 - Devoir répondre à 10 questions sur le Budō.
Yann réussi les trois épreuves avec succès et sortit de cette évaluation avec le titre de Shidōshi Nidan, ce qui le rempli de joie.
Ainsi à ce jour, au sein du groupe orléanais, Yann détient officiellement un titre de Taikiken France qui l’autorise d’une part à transmettre le Taikiken, mais aussi et surtout à poursuivre sa formation.
Contact : www.taikiken-france.eu
Phone: 0033/(0)682.473.893
Alain Stoll – Soke Taikiken France
Né le 13 Mai 1948 à La Chaux de Fonds (Suisse).
Alain Stoll Sensei à débuté par le Karate Shōtōkan en 1963 à Boulogne Billancourt (92) sous l’autorité d’un des premiers Sensei asiatiques enseignants le Karate en France, nous parlons là de : Hoang Nam Sensei.
En 1967, quelques mois après avoir réussi son passage de grade pour le premier Dan (一段) Shōdan, sous les recommandations de Hoang Nam Sensei, A 19 ans Alain Stoll Sensei s’expatriera à Düsseldorf en Allemagne Fédérale, ou il sera alors un des premiers instructeurs de Karate en Allemagne.
Hoang Nam Sensei, avait appuyé sa prise de fonction en tant qu’instructeur dans la toute première école privée de Budō de la ville de Düsseldorf, celle de Ludwig Prass Sensei (A l’origine Sensei de Judō).
ASS[15] demeurera en Allemagne jusqu’en 1980, ou il revint s’installer en France à Valence, dans le département de la Drôme (26). Pendant toute la période ou il enseignera le Karate dans ce département, il y fondera 3 Dōjō : Valence, Dieulefit et Donzère.
En 1987, travaillant dans l’administration territoriale, il sera muté dans la ville de La Ferté Saint Aubin dans le Loiret (45). Son activité martiale, comme dans la Drôme pris rapidement de la consistance dans le Loiret, ou il créera également 3 Dōjō : La Ferté Saint Aubin, Orléans et à Salbris dans le Loir et Cher (41).
Entre 2002 et 2004, il renoue avec le Japon, ou il y séjournera tous les trois mois un mois.
Au mois d’août 2004, à 56 ans il prend sa retraite de la fonction publique territoriale et s’expatrie au Japon à Yokohama en tant que Technical Adviser de l’école Tokitsu Ryū Jiseidō (時津流自成道).
Dans ce nouveau périple, il à aussi et surtout comme objectif celui de poursuivre et de terminer sa formation du Taikiken. A cet effet, un concours de circonstance fera qu’en avril 2005 il fera la connaissance de Shimada Michio Sensei (島田道男先生), dont il devint le premier Deshi étranger, (Gaijin[16] - 外人- ), à être accepté par Shimada Sensei comme Deshi à tenir dans son Dōjō. S’étant marié à une Japonaise, il a aussi la ferme intention de terminer sa vie au Japon.
Mais le sort de l’existence en décidera autrement !
Suite à son divorce en 2011, il est contraint contre sa volonté de revenir en France. Il s’installe alors à Lavelanet dans l’Ariège (09).
Dans cette ville de 7000 âmes, très sinistrée depuis qu’elle à perdue pratiquement toutes ses capacités de production dans le secteur de la filature ainsi que dans la fabrication des textiles, il y ach��te un bien situé en plein centre ville .
Ce bien est constitué d’un duplexe de 90 m2 dans lequel il y agencera un Dōjō privé de 30m² qui va devenir quelques années plus tard le Honbu Dōjō de Taikiken France Organization.
Dans son Dōjō, ASS y enseigne le Seiso Taikyoku Ken (太極拳) et le Taikiken (太氣 拳). Très rapidement son Dōjō, en s’appuyant sur une réputation de sérieux, ayant à sa tête un professeur exigeant, un peu austère et rigoureux, acquière une certaine notoriété.
Entre 2010 et 2016, l’effectif des élèves acceptés selon un écrémage en règle, les deux disciplines réunies se chiffrera à plus d’une trentaine.
Depuis 2011 ASS s’envolait au minimum une fois l’an au Japon, ou non seulement pour s’y ressourcer et y retrouver ses anciens élèves. Mais aussi ou il avait alors l’occasion d’y rencontrer d’autres Sensei de Taikiken[17].
La raison étant que et c’est une des complexités du système social japonais. Ou comme spécifiquement dans le cas du Taikiken, quand vous appartenez à une de ses familles, il n’est pas bien vu du tout par le Sensei de cette famille, que vous alliez voir ce qui se passe dans une autre Dōjō. Même si ce dernier est aussi un Dōjō de Taikiken .
Depuis son retour en France en 2011, ASS aimait beaucoup retourner chaque année au Japon pour s’y ressourcer.
Arriva ce maudit mois de juillet 2016 ou à peine revenu de deux semaine au Japon, le 16 juillet à 16:35 heures ASS est victime d’un dramatique accident de moto non responsable et dont il en sortira paraplégique !
Fin de l’aventure !
Suite à cet accident ou ASS frôla la mort de très près (Il subit 3 arrêts cardiaques entre le transport en hélicoptère au CHU et l’opération de sa colonne vertébrale).
Une opération à la suite de laquelle il sera alité et intubé pendant 35 jours dans le service de réanimation du CHU de Rangueil à Toulouse. Il sera ensuite transféré pendant 25 autres jours dans le service des soins intensifs.
A partir du mois d’août il sera ré-transféré dans la clinique de Verdaich, située au sud de la capitale de Midi-Pyrénées. Un clinique exclusivement spécialisée dans la rééducation des accidentés de la route et d’autres pathologies comme les AVC graves.
Pendant cette période, il subira deux autres interventions chirurgicales au CHU de Montpellier, afin de rétablir en partie la fonctionnalité de sa main gauche, a demie paralysée depuis l’accident.
Il restera dans la clinique de Verdaich jusqu’au mois de juillet 2018.
Le premier août 2018, il quitte Verdaich pour revenir sur le secteur de Lavelanet. Il intégrera un studio situé dans un foyer logement, dépendant d’une unité médicalisée située à la Bastide sur l’Hers (09600).
La Bastide sur l’Hers est une commune que se situe géographiquement à 12 kilomètres de son appartement-Dōjō. Un appartement qu’il à entre temps loué à un de ses anciens élèves.
Dans ce foyer logement qui comporte tous les services dont il à médicalement besoin, il à la chance d’y trouver une salle commune, qu’il peut utiliser afin de continuer à enseigner le Taikiken à partir de son fauteuil électrique, avec l’aide des plus anciens, nouement Guillaume Marinot[18].
Depuis la saison 2017-2018 ASS à donc repris l’enseignement du Taikiken à raison d’un Keiko hebdomadaire, le mercredi.
L’accident ayant eut pour conséquence de stopper brutalement l’ensemble de l’activité du Seishin Taikiken Honbu Dōjō, ce qui à fait volé en éclat tout le groupe. Pendant plus d’une année, c’est à dire la moitié de 2016 et tout 2017 aura été nécessaire pour relancée l’activité au niveau de Lavelanet/La Bastide et plus largement.
En 2018 et 2019, l’activité semble avoir repris sa marche en avant avec l’organisation de trois stages, celui du mois de Mai 2018, ou ASS avait invité chez lui dans sa nouvelle résidence, trois Sensei du Taikiken.
Iwama Sensei, Ito Sensei et Yokoyama Sensei resterons à La Bastide sur l’Hers une huitaine de jours et qui se clôtura par un Gashuku de week-end.
Au mois de décembre 2018 et en juillet 2019, le Honbu Dōjō de Taikiken France à organisé deux stages sur les communes respectives de Lavelanet et de La Bastide sur l’Hers. L
Ces stages furent placés sous la direction technique des trois instructeurs officiels TKKF, que sont Benoît Naous, Christophe Bertrand et Pierre Robert sous l’œil attentif d’ASS.
Entre le temps ou il fut hospitalisé et celui de son retour sur son lieu de convalescence, ASS à rédigé et édité trois nouveaux ouvrages :
Programme d’évaluation de Taikiken France en collaboration de Benoît Naous Sensei (2018, Éditions Lulu.com)
Annuaire du Taikiken (2018, Éditions Lulu.com)
Un Shugyosha au Japon ou « Carnet de voyage au cœur des arts martiaux nippons ». (2019, Éditions Lulu.com)
Les trois livres sont actuellement accessibles chez Lulu.com et sur la plateforme Amazon.
D’autres livres sur le Budō, notamment un Essai sur leur évolution depuis la période de l’Histoire, sont en préparation.
C O N C L U S I O N
Dans les prochaines années, viendront tout naturellement se greffer sur cette liste non exhaustive d’autres instructeurs formés par Taikiken France dans le plus pur esprit de l’œuvre de Sawai Kenichi Sensei, afin de sauvegarder, du moins en Europe, cette œuvre dans son intégralité.
Quelques précisions au sujet de l’organisation des sessions d’évaluations !
Les sessions d’évaluations ne sont pas organisées à la discrétion des Deshi, mais exclusivement sur la demande des responsables techniques des Dōjō de Taikiken France Organization.
C’est aux Sensei, selon l’évolution et la progression de leurs Deshi respectifs qui prennent l’initiative d’organiser une ou plusieurs sessions d’évaluations dans l’année en cours.
Toutefois nous tenons à rappeler ici, que selon la tradition du Budō, que ce n’est jamais aux élèves de solliciter leur Sensei[19] pour accéder à un niveau supérieur !
Un niveau qui se matérialise toujours par l’obtention d’un Menjo[20] (免状) ou d’un Menkyō[21](免許) délivré par Taikiken France.
Généralement la procédure est la suivante :
Lorsque le Sensei du Dōjō X estime que le ou les Deshi X sont arrivés en capacité de pouvoir présenter un titre, il réunis le ou les Deshi en question et leur pose la question si ils sont prêt et disposés à se présenter à une session d’évaluation pour tel ou tel titre.
Selon les réponses, le ou les Sensei avisent alors le Soke de Taikiken France et le DTN[22] que X Deshi ont atteints le niveau pour se présenter à X titre.
Une session d’évaluation est alors organisée, pour le moment, cette dernière est toujours organisée à l’occasion d’un stage.
Taikiken France Organisation n’étant pas encore assez importante en matière d’effectif, pour arrêter à l’avance une date annuelle fixe, afin de procéder à une évaluation nationale.
Le staff des Yudansha[23] (有段者) ainsi que le Soke (宗家) restent à l’ écoute des Deshi de Taikiken France pour leur communiquer tous renseignements supplémentaires, autant sur le plan organisationnel que sur celui de la technique, ainsi que sur les méthodes de travail et d’enseignement.
[1]Ce Dōjō à été le premier Dōjō du Japon qui à reçu en 1947 l’autorisation de rouvrir pour la pratique du Kendō, après que le Général Mac Arthur, suite la défaite sans condition du Japon le 15 Août 1945, avait interdit par décret l’interdiction totale de la pratique des Budō sur l’ensemble du Japon.
[2]ASS pour Alain Stoll Sensei.
[3]FFKDA ou Fédération Française de Karate et Disciplines Associées.
[4]Shifu (師傅) en chinois signifie professeur, mais peut également être associer au terme de Père.
[5]Nidan ( 二段) signifie : deuxième niveau.
[6]SSKD = Seishinkan Dōjō.
[7]Shōdan ( 一段 ) = Premier niveau (Ceinture noire).
[8]Shugyō (修行) ou pratique journalière et individuelle.
[9]FIAMT = Fédération Internationale des Arts Martiaux Traditionnels.
[10]La Bastide sur l’Hers (09600 c)étant depuis avril 2018, le lieu ou se situe le nouveau Honbu Dōjō de Taikiken France.
[11]En effet Pierre à construit dans sa maison, située au centre de Lille, son Dōjō privé, d’une surface approximative de 40m2.
[12]Gashuku ( 合宿 ) signifie : « Vivre ensemble un événement »
[13]Le titre de Go Mokuroku ( 目録) signifie celui qui « possède une bonne connaissance du catalogue technico-énergétique » du Taikiken
[14]Yann doit supporter des douleurs de lombaires et de dos, qui semble maintenant se résorber avec les traitements appropriés qu’il suit depuis quelques années.
[15] ASS pour Alain Stoll Sensei.
[16]Gaijin ou Gaigoku Jin ( 外国人), expression Nipponne qui signifie : « personne venant d’un autre pays ».
[17]Ce qu’il n’avait pu réaliser sur place lorsqu’il vécu plus de 8 années au Japon. Ce qui aurait été mal perçu par Shimada Sensei.
[18]Guillaume Marinot sera dépêché au Japon pour deux semaines au mois de 2019.
[19]C’est impoli et prétentieux.
[20]Menjo (免状) se traduit par : permis, certificat, diplôme
[21]Menkyō ( 免許) se traduit par : permis, certificat, licence.
[22]DTN pour Directeur Technique National.
[23]Yudansha (有段者 ) signifie : Ceintures Noires.
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#kumite #oss #osu #ossu #kenpo #aikido #motivation #kiai #dojo #karatekiai #treino #fitness #barretos #barretao #oss #osu #ossu #kenpo #aikido (em Barretos, Sao Paulo) https://www.instagram.com/p/B0Bs3FSgtMt/?igshid=1ugzwpeh5shgs
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Yo digo que la WKF no es Karate...
Y te explico por qué...
En primer lugar, parto de la premisa de que el Karate en su más pura esencia es un sistema de defensa personal, hecho para sobrevivir, si no aceptas este hecho mejor no sigas leyendo.
Y no me malinterpretes, yo respeto mucho a los atletas de WKF, admiro muchísimo a Sandra Sánchez y Haya Jumaa me parece lo más espectacular que hay, pero lo que hacen no siento que sea Karate, al menos no es lo que aprendí y lo que quisiera enseñar.
Me dicen que WKF es ”Karate deportivo”, eso me suena a una limonada sin limón o a una hamburguesa vegetariana, no sé, no se me ocurre “defensa personal deportiva”.
Otros dicen que es que el Karate ha “evolucionado”. ¿cómo un arte que es para defensa puede evolucionar si se le quita el aspecto defensivo?
KATA
El “karate deportivo” cambió la funcionalidad del kata por la estética y ni hablar del bunkai, no sé cuál sea el estado actual pero hace unos años se presentaban los bunkai contra varios adversarios, eso no es bunkai, eso era un kata grupal y va en contra del Kaisai no genri
El problema con las federaciones es que las cosas se estandarizan, es decir que todos deben hacer las cosas iguales, como yo lo veo, esto va en contra de lo que son las artes marciales, cada individuo es diferente, con un alma y un espíritu únicos, por este motivo la técnica se manifiesta de manera distinta en cada persona.
Kata es una herramienta para preservar y ocultar las técnicas y para practicar en solitario cuando no se tiene un compañero, pero el verdadero aprendizaje está en el bunkai. Sin el bunkai, kata es una simple coreografía.
En 1936, cuando se sentaron las bases para modernizar el Karate, Chojun Miyagi propuso crear nuevos kata para competencia y de esta manera proteger los kata antiguos, lamentablemente eso no ocurrió, sólo se crearon fukyu kata y gekisai.
KUMITE
Antiguamente no existía el “shiai kumite” es decir, ese combate deportivo que vemos hoy, por ese motivo el maestro Teruo Hayashi tuvo que recurrir al Dojo Yaburi para probarse a sí mismo, Mas Oyama tuvo que hacer su Musha Shugyō y Choki Motobu se iba al distrito rojo a buscar pelea.
Nuevamente vuelvo al punto de que Karate fue creado para defensa personal, si vemos los kata tenemos muchísimas técnicas de golpes, bloqueos, patadas, codazos, rodillazos, proyecciones, luxaciones, derribos, cabezazos, pellizcos. ¿Qué es lo que vemos en las competencias WKF? Creo que no hace falta decir mucho más....
El shiai Kumite tiene muchísima influencia del boxeo occidental, de hecho,la modernización del Karate se dio en gran parte porque al caer el régimen Tokugawa, las artes samurai fueron prohibidas y en Japón no existía un arte marcial de golpes, por eso buscaron en Okinawa, pero ese es un cuento para otra entrada.
KATA vs KUMITE
Algo que muchas veces pasa desapercibido, es que en el karate moderno, kata y kumite son diametralmente opuestos, en Kata las posiciones son sólidas, frontales y muy marcadas mientras que en kumite se paran de lado, con un rebote constante y desplazándose en las puntas de los pies.
¿Por qué existe tanta diferencia entre kata y kumite en wkf? porque WKF no es karate.
Los maestros antiguos desarrollaron estas técnicas para sobrevivir, no para marcar puntos o para complacer a un grupo de jueces.
Han desvirtuado tanto el Karate que algunos maestros y estudiosos han tenido que llamar a su arte “Uchinadi”,“ti”, “Karate-jutsu”, “tegumi” u “Okinawan Kenpo” para distanciarse de WKF.
“ En los viejos tiempos entrenábamos Karate como arte marcial, pero ahora entrenan Karate como un deporte gimnástico. Yo creo que debemos evitar tratar el Karate como un deporte, ¡debe ser un arte marcial! Tus dedos y las puntas de los dedos de los pies deben ser como flechas, y tus brazos deben ser como hierro. “
-Chosin Chibana
Es muy difícil nadar contra la corriente.
¡Gracias por leer!
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Karate niçin tek çatı altında olmasın?
Dünya ülkelerinin resmi/ulusal Spor Karate Federasyonları kısa ismi WKF olan Dünya Karate Federasyonu catısı altında toplandı ve bu sözkonusu dünya federasayonu da ağırlıklı olarak 4 ana stili, GOJU-RYU, SHITO-RYU, WADO-RYU ve SHOTOKAN'ı kapsamaktadır. (Traditional/Geleneksel Karate yapan bazı organizasyonlar hariç)KATA ve KUMITE'de yani döğüş yarışmalarında uygulanacak esaslar/kurallar ile değişen bazı puanlamalar WKF tarafından zaman zaman güncellenmektedir. KATA'da durum standart olarak belirlenmistir. 4 stilin herbirinin ikişer SHITEI KATA'sı ilk elemelerde zorunludur. Yarı finalde veya finalde isteyen istediği KATA'yı yapabilmektedir. Bazı durumlarda değişse bile genel yaygın uygulama bu şekilde devam etmektedir. Dövüşte yani KUMITE'de kontrol esastir. Bunu tüm Karate stillerini çalışanlar çok iyi bilmektedirler. Turkiye'de gerek KYOKUSHINKAI karateyi ve gerekse ASHIHARA ile KENPO Karateyi çalişan butun kardeslerimiz(orada daha başka Karate stili/stilleri var mi bilemiyorum.) WKF'nin belirledigi standartlarda rahatlıkla dövüşebilirler. Buraya kadar hiçbir sorun yok. Yani bir Karate-ka WKF kuralları ile pekala KUMITE maçlarina istirak edebilir. Sistemin kurallarina gore dövüştüğü süreçe iyi ise kazanır, kural dışı vuruş ve davranışları varsa onu zaten ilgili hakemler gereken tedbir, ihtar ve cezalarla uyarırlar. Ancak Kata yarışmalarında durum biraz farklıdır. Yani WKF'nin kabul ettiği, daha doğru bir ifade ile söyleyecek olursak, WKF'yi temelde oluşturan 4 ana stilin SHITEI Katalarını yapmak zorundadir yarışmacılar. Dolayisiyle WKF bu stillerin SHITEI(zorunlu kata)Katalarını kabul etmekte ve Kata dalında bir mecburi standardizasyona gitmektedir. (Aslında bu standart da yeri ve zamanı geldiğinde tartışmaya acılabilmelidir.) Gelelim Turkiye'ye; Özerk bir federasyonun dağıtıcı değil, toparlayıcı-birlestirici bir özelliği olmasi lazım diye düsünüyorum. Buna yasadıgım ülke Canada'dan bir örnek vermek istiyorum. Burada(Canada) CHITO-RYU KARATE isimli ilginç bir stil var ve üstelik epeyce de yaygin. Bu stili çalışan Karate-ka'lar WKF yarışmalarında aslanlar gibi KUMITE dalında yarısıyorlar. KATA'da ise eyalet bazında yarısmalara katılıyorlar fakat milli takım seçmelerinde asla yarışmıyorlar. Yani Milli takımı oluşturmak gayesi ile organize edilen Kanada çapındaki musabakalara sadece KUMITE dalında katılıyorlar. KATA dalinda WKF'nin kuralları malum olduğu için KATA yapmıyorlar. Böylece ülke genelinde yaygin olan 5 stil KUMITE'de kiyasiya mücadele ediyorlar.(4 stil degil, 5 stil yani WKF'nin kabul ettigi stiller + CHITO-RYU) Buna benzer bir uygulama Turkiye'de de gerçekleşebilir. Böyle bir uygulamadan sonuçta resmi Karate Federasyonu kazançlı çıkar diye düşünüyorum. Diğer bir sorun da bu resmi Karate Federasyonu çatisi dışında kalan stillerin sorumlularıdır. Benim aklıma gelıveren ilk soru; Acaba bu stillerin antrenorleri gercekten tek bir catı altında bulunmak istiyorlar mi? WKF stillerini çalısan, öğreten değerli antrenör arkadaslarımın, liste dışında kalan stillere karsı bir ön yargı içinde olacaklarını hiç düşünmüyorum. Fatih ince Karate-ka Read the full article
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Karate -The Most Famous Martial Art
A martial workmanship is an arrangement of procedures utilized for self-protection. While some martial expressions battles utilize weapons like the staff, blade, cut and nunchaku, some emphasis on utilizing parts of the body to strike and piece the rival.
With regards to a martial expressions battle, there are a few styles, of which karate is the most prevalent one. This martial craftsmanship method does not utilize weapons. Rather, unique sorts of punching and kicking styles are utilized to conquer the adversary. The contender wears a white uniform with a belt that speaks to his ability level and rank. You can also join Karate Martial Arts School Woodbridge Vaughan.
Karate Martial Arts Fight
Karate created in Okinawa in Japan in the sixteenth century. Genuine formal styles formalized just in the twentieth century. The Okinawa karate style is hard with roundabout safeguard developments and straight offense developments, with intense physical preparing. The Japanese style has longer and more modern straight developments in both the offense and safeguard frames. Adapting any martial expressions battle needs high duty, and Karate is no special case. The kicks and punches, squares, tosses, strikes take incredible mental and physical quality. The hand and foot systems can be both hostile and protective. Karate additionally includes pose, position, great breathing systems and hip turn developments.
To the extent karate preparing is concerned, many styles concentrate on essential procedure, likewise called as kihon, competing or kumite and development shapes called katas. These katas are particular examples that speak to the way the individual will assault or safeguard and each individualized structure comprises of a progression of developments.
American Martial Arts
American martial expressions battle has a history that goes back to 1879 and styles, for example, American Kenpo Karate, Chun Kuk Do, Kajukenbo, Kickboxing, Shoot battling and so on have created accordingly.
The primary American karate style is the American Kenpo. It was established by Ed Parker who construct it with respect to the principles of movement. American martial workmanship style Kenpo consolidates more established martial expressions battles including judo, Kempo and Jujitsu to deliver new procedures appropriate for present day weapons. Along these lines, as opposed to utilize the conventional lance as a weapon, Kenpo would utilize the blade or firearm for resistance.
In American Kenpo, efficient moves or reactions are included which are utilized to in a flash react to a given circumstance. Many individuals feel that the systems are fairly intricate, however this is to empower the individual to adjust to the current circumstance. This is the fundamental contrast between American martial workmanship Kenpo and the other customary martial craftsmanship battles. Kenpo is continually advancing, utilizing what works and disposing of what does not. It is very futuristic in that it continues developing new procedures. It additionally stresses on speed of development, snappy basic leadership and to some degree fierce moves.
Albeit martial expressions are utilized for self-protection, today, many individuals take in the battling expressions for wellbeing and wellness, authorizing law and game, among numerous others. There are more than ten thousand Karate schools in the only us, with a lion's share of them represent considerable authority in a specific style. While some reinforce the body, some focus on the speed of development.For more visit http://www.pulseacademy.ca/
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The Martial Arts Fighting Method
The Martial Arts Freestyle Method Technically, you should probably say, ‘The Al Case Martial Arts Freestyle (or fighting) Method.’ I don’t know of anybody else who teaches freestyle like this. Yet it is a complete method that leads to competence in fighting in the shortest possible time. The problem with karate, and with people, and all of mankind, is that they think the only solution is…
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Here, a few of my students are working on their sparring/kumite skills, at the Budo Ryu Kai Hombu Dojo in Kansas City, KS! . JOIN THE ONLINE NINJUTSU DOJO! Study The Ancient Ninja Martial Art Called: “Ninjutsu”! 👺 ⛩ BudoRyuNinjutsu.com . Do you live in Kansas City? Call us for a FREE TRIAL CLASS! ☎️ (913) 449-5367 . Don’t Live in Kansas City? Join The Online Ninja Dojo! ⛩ BudoRyuNinjutsu.com . #Ninja #MartialArts #Ninjutsu #Ninpo #Bujutsu #Budo #Kobujutsu #Kobudo #Shinobi #Shinobijutsu #Sparring #Kumite #KumiteTraining #Boxing #Kickboxing #Taijutsu #NinpoTaijutsu #Kenpo #Kempo #KokaRyuKempo #Karate #Karatedo #Jujutsu #Dakentaijutsu #TraditionalMartialArts #JapaneseMartialArts #BudoRyuKai #BudoRyuNinjutsu #Fight #Fighter https://www.instagram.com/p/CVjXCzmpBJ9/?utm_medium=tumblr
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30MAY24 There was no class on Tuesday, nor even my ability to work on my own to do katas or weapon forms. A line of storms hit the area, and I was doing emergency farm work with no power. Today, though, we got back to the work of prepping for tournament and Ohana. Good mix today. I didn't work more after class, though, as I was wiped from farm repairs.
Training:
1730-1930: Martial arts
Ohana prep, Kenpo short 3 and long 2, competition happo giri and sanju ichi jo kata, kumite, and review of Kenpo Purple belt Locking arms and Windmill Guard
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Geometric Fighting in Martial Arts
Geometric Fighting in Martial Arts
The Geometry of Fighting in the Martial Arts! T-Day is over! Long live HanaKwanMass! You’ve been warned! ;0) Many people think the martial arts are all about fighting. they are about a lot more than that, but let’s just consider the fighting aspect. I was okay as a fighter. Some people thought I was good, some people could kick my ass. It happens. But I didn’t care about fighting I wanted to…
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23MAY24 In a week, I wil head back to the ship for work, so I am working hard to impart what I can before I go. There is still the tournament on the 8th, but the students will go without me. Rough.
Training:
1730-2030: Martial arts
Kenpo short 3 & long 2, happo giri, sanju ichi jo kata, kumite, review of Kenpo Purple belt Scimitar through Full Nelson, weapons katas
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18MAY24 I pushed hard for the upcoming tournament today, because might as well. It sucks when you tell a student to do something that you can't show them unless you have a line of people ready to just beat them into compliance. Lacking that, you just have to let them get stomped in competition and learn the hard way. Che sera sera.
Training:
0830-1130: Martial arts
Sparring combos, kenpo long 2 & short 3, kumite, weapons katas: hanbo, jo, bokken, tonfa, nunchaku, sai, and bo
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11MAY24 It was a good class, even if we went slow to accomodate injury. Now, good is a relative term, as it suc when you have to slow down and learn new katas, which is precisely what we did. On the other hand, we did learn a lot.
Training:
0830-1130: Martial arts
kenpo short two, long two, and short three; kumite; review of Danzanryu shime no kata shidare fuji shime, shika no issoku shime, & tatsumaki shime; kenpo long 4
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07MAR24 Last practice before the tournament on Saturday. Unfortunately, I really couldn't get another student to commmit the time to come in and help. That's a shame, when you see them not putting in the time you know they can spend. But I'm not stopping or holding back for them. We worked a lot on sparring- the more and more impacts happen, the more commonplace they become. It's much easier to fight when you expect to get hit and keep moving.
Training:
1730-2030: Martial arts
Bagwork combos, kumite, Kenpo Long 1, Kihon kata, Hanbo competition kata, jusan jo kata, sanju ichi jo kata; Tedori Orange belt Tip 4 legs review; Kenpo Long 3
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